Désequilibre du chakra sacré


Le chakra sacré : A l'origine...

Quand votre deuxième chakra se referme, votre sensibilité tend à baisser et vous risquez de devenir indifférent aux choses et personnes qui vous entourent, vous pouvez également ressentir une forte mélancolie, une impression indéfinissable de manque et une lassitude sourde.

La crainte de ne pas être assez bien, de n'avoir pas été désiré ou de n'être pas assez désirable peut devenir une certitude. Vous cherchez souvent à vous faire remarquer, reconnaître et à obtenir des retours par rapport à vos accomplissements. Vous en faites toujours plus et tendez à être excessif en tout, cela pour vous affirmer.

Le désir et l'appétit pour la vie sont des notions que vous avez du mal à exprimer, avec vous c'est souvent tout ou rien.

Les limites de votre deuxième chakra sont bien définies : trop ouvert, il vous incline à la gourmandise, à l'excès de sensualité, et parfois à un comportement sexuel débridé et à une véritable immaturité comportementale et affective (dépendance du petit enfant). Trop fermé, il vous rend mélancolique, insensible, vous isole des autres mais aussi des plaisirs offerts par le monde extérieur. Equilibré, il vous conduit à prendre soin de vous et de vos plaisirs.

Votre chakra sacré : Siège du bien être physique

Quand il ralentit, il puise dans tous les autres chakras majeurs. Il tourne bien si vous prenez soin de vous et ralentit si vous abusez de votre force vitale en commettant des excès de tous ordre. Il traduit la façon dont vous faites alterner repos et activité, travail et divertissement.

Il exprime aussi la façon dont vous avez accès au plaisir et dont vous vous autorisez à accueillir tous vos désirs, ce qui n'équivaut pas à tous les satisfaire. Respecter les besoins de mouvement de votre corps, écouter ces besoins, expérimenter la réalisation de vos envies et la frustration de leur non satisfaction, c'est apprendre que vous avez droit au bien-être et au plaisir mais que vous maîtrisez par tout ce qui participe à vous contenter.